lundi 30 juillet 2012

J'ai pleuré derrière un radiateur.


L'étrange nuit se termina par une très étrange et douce atmosphère. Tes lèvres se rapprochant dangereusement, je ne fis qu'un pas. Tes lèvres embrassant les miennes, sous la lumière de l'aube. Le soleil nous salua gentiment. Un dernier verre avant de repartir à nos vies respectives. Et plus jamais nous nous reverrons. 
C'est étrange de partager pendant une nuit nos vies sans plus jamais nous revoir. C'est sans peu d’intérêt que nous avons finis par nous revoir quelques années après. Par une soirée bien arrosée. Par une nuit agitée. J'ai fini dans ton lit. Drôle de hasard n'est ce pas?



2 commentaires:

Marie-Caroline a dit…

Le hasard, je n'y crois jamais. Les corps s'entrechoquent au rythme du destin.

Marie-Caroline a dit…

Le hasard, je n'y crois jamais. Les corps s'entrechoquent au rythme du destin.

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