vendredi 27 avril 2012

Si je te lâche, je souffre. Si tu me lâche, je souffre aussi.

Qu'elle idiote je suis d'être devenu accro à quelque chose d'aussi dangereux. Les mots restent bien coincé. Tandis que toi, toi et ton habituel ton neutre. Aucun réel sentiment venant de ta part n'est ce pas? Tout ce que tu fais c'est uniquement de suivre le mouvement. Et moi je reste immature. Toujours et encore une enfant. Tandis que mon corps est celui d'une femme, mon âme reste encore trop fragile, trop enfantine. Elle se refuse catégoriquement de grandir. J'ai l'air idiote. Et tu vois, je reste encore seule. Seule dans ma chambre. Je me sens totalement larguée. Larguée par mon père. Distante envers ma mère. Je ne sors plus. Mais toi, toi tu t'en fous. Tout ça t'es complètement égal. Tu sais je risque dans quelques jours de ne plus vivre chez mes parents. Parce que je suis tellement difficile à vivre. Et qui m'hébergera? Personne. Parce que je ne suis qu'une sale enfant gâtée par la vie et qui ne cesse de cracher dessus. Quand me laisseras tu me dire? Quand me laissera tu entrer dans ton coeur pour de bon?  Je suis paumée comme tu l'as dit. Et je continue de me morfondre sur mon sort. Au lieu de me relever et d'avancer. J'ai l'impression d'aimer toutes les conneries que je sème un peu partout.







































lundi 23 avril 2012

J. ai un bel idiot.

Complètement folle de toutes ces choses. Ce bonheur imparfait. Cette jouissance presque stupide. J'écris pour ne rien dire de très intelligent. Je t'aime à m'en casser les genoux. Je serais incapable de te laisser. Mais bien apte à tout détruire. Pourtant cela fait déjà bien pas mal de temps que tu me supportes et rien ne te décide de me laisser en plan. Quel est donc ce problème? Et puis l'élastique que je porte entre les cuisses en dit long sur mes intentions. Quelle banale histoire de coups par devant/derrière. J'empoigne le guidon et m'en vais vers l'étrange lumière de la nuit. Suivant la lune tout au long du chemin. Je me glisse entre tes draps.Quelle adorable personne je vois là. Ton corps nu. La plus belle silhouette d'homme jamais vu au par-avant. J'en suis chanceuse. Et toutes les nuits se ressemblent. Toutes les nuits je me glisse entre tes bras. Je t'aime à m'en pourrir les entrailles. 




















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