dimanche 30 octobre 2011

"SURPRISE on rentre plus tôt de Paris!" AAARG!

Yo! Et bien je viens de vivre la plus dure amnésie de toute l'histoire de l'humanité toute entière. Vous savez comment c'est de boire et d'aller faire la fête. Je me suis réveillée toute nue chez un ami le lendemain matin, grosse frayeur sur le moment, je l'ai réveillé en lui demandant si on a couché ensemble. Et franchement c'est le garçon le plus gentil puisqu'il ne s'est rien passé. Et au final j'étais tellement sec que je me souviens de rien du tout. Mais alors de rien du tout. Et là je viens de recevoir un appel d'un certain Machin. Aucun souvenir de cette rencontre, il m'a rafraichi la mémoire en me racontant ce que je lui ai dit. Et je lui ai dit que j'étais Gitane. Heu Blague. Et j'ai jamais eu aussi honte et eu autant la gueule de bois. Horrible découverte quand je me suis donc levée ce matin. En conclusion du résumé de ma soirée, boire trop ça craint.

jeudi 27 octobre 2011

Lost.

En fait, je ne sais pas. Tu vois j’aurais beau regarder. Te tenir dans ma main, tu seras pour moi absolument détestable. Tu sais j’ai perdu mon temps à te chercher. A essayer de comprendre. Je travaille encore là-dessus. Tu vois quand je te disais que j’avais peur, c’était pour ça. Parce que maintenant j’ai vraiment mal. Je ne sais pas. C’est vraiment bizarre hein ? Le chaos total. Je te cherche vraiment partout. Mais au milieu de ces cadavres, de ces corps il est difficile de faire la différence entre ce qui est vivant et ce qui est mort. Cela fait maintenant un mois voire deux mois que tu es parti. Je ne dors plus. Je ne mange plus. Dans ma tête j’ai l’impression, je suis même sur que tu as toujours vécu. Que tout ça est réellement arrivé. J’ai l’impression d’avoir tout imaginer dans ma tête. Or, ce que je ressens est bien réel. J’ai vraiment peur tu sais. Dans quelques jours c’est le grand jour. J’attends ce train. J’ai l’impression que nous sommes jeudi depuis quelques jours. Pourtant nous ne sommes que mardi. Mais j’ai toujours cette impression que nous sommes jeudi. Et tu ne réponds toujours pas. J’ai horriblement peur. Chaque fois, je crois que c’est toi. J’écoute tes chansons en boucle. J’ai vraiment très peur. Tu ne dis plus rien. Qu’est-ce qu’il se passe ? Si tu savais comme je me sens seule. Tu m’as laissé survivre dans un monde qui n’est plus le mien. Un désert humain. La mort qui rôde dans chaque recoin de  cette  putain de ville. Si tu savais comme il est difficile de rester vivant mentalement. Je suis effrayée. Terrorisée de devoir me lever tous les matins parce que personne ne peut me certifier que tout se passera bien. C’est ce que je ressens en ce moment. Un mal être qui me ronge. Terrifiée à l’idée de vivre sans toi chaque jour.  Tu ne peux pas me laisser dans cet état. S’il te plait. Je ne supporte pas ton ignorance, ton indifférence envers moi. Qu’est-ce que j’ai fait ? S’il te plait. Et cette musique que j’entends sans cesse dans ma tête. Elle me fait pleurer. Elle est tellement belle. Je ne voudrais jamais qu’elle s’arrête de jouer.

lundi 24 octobre 2011

Le coeur en miettes.

Tout est toujours sous condition. L'amour surtout, je regrette pas mal de choses. Mon comportement tellement violent envers moi même, envers certaines personnes si proches. Si je pouvais ne serait ce que ne plus avoir à entendre que si je continue mes actes de violences et de colères, ils m'enfermeraient. Oui j'ai bien un problème psychiatrique. C'est dure d'entendre que je suis tellement violente envers les autres envers moi même que je pourrais me retrouver internet. Je redeviendrais à l'état de loque. Complètement anéantis parce que je suis cataloguée comme ayant un problème. Parfois j'ai des regrets. J'aurais pu toucher ma soeur, la perforer avec ma paire de ciseaux. Et ma vie serait sans doute fini. J'aurais pu être accuser de meurtre. Parce que mes colères sont tellement violentes que je pourrais devenir une certaine criminelle. Et toute ma vie professionnelle serait broyé comme lorsqu'on broie le coup d'un poulet. Assise sur mon lit, je pleure, demande pardon d'avoir été méchante. Et je cherche dans mon répertoire un ami qui pourrait m'écouter, sans me juger, en écoutant attentivement ma peine. Et j'ai beau cherché sans cesse son nom. Personne. Car Personne ne veut vraiment m'écouter me plaindre d'avoir un problème psychiatrique. Je suis sans doute malade, gravement atteinte par la colère et la solitude qui ne cessede me ronger le cerveau. Je suis pauvre d'amour. Pauvre de pas mal de choses. Je me ment pour oublier quel est le vrai problème. Je suis d'une extrême complexitée. Les gens disent qu'ils ont du mal à me cerner. Croyant me connaître. Croyant me comprendre. Croyant que nous sommes pareil tous les deux. Nous ne sommes pas pareil. Nous sommes différents vraiment en tout point. Tu crois peut être à un moment donné que parce que je couche avec des gens que c'est pour les même raisons? Et peut être que j'ai une seule raison de faire ça comme toi. Peut être que je suis une sale garce. Que je m'en contre balance. Peut être que tu seras le prochain sur une longue liste de noms. Tous pareil. Et moi? Moi je suis tellement anormale. Tellement laide et tellement sale. Je suis tellement anormale que je me dégoute étrangement. Je voudrais tellement que tu sois là pour m'aider. M'aider à être comme tout le monde. A réagir comme tout le monde. Je voudrais oublier.

REGLE N° 27: Se faire plaisir.

Je sais pas c'est bizarre. Cette mélodie exprime exactement ce que je ressens.

dimanche 23 octobre 2011

L'heure du cassoulet.

J'ai beau réfléchir depuis plus d'une semaine à ce que je pourrais écrire d'assez intelligent pour le publier. Mais rien. Tu vois je suis en panne. Dans ma tête c'est comme la neige, ou le brouillard. Je suis rien dans ma tête. Je me creuse la tête, à essayer d'écrire de belles rimes, j'essaie de penser au malheur, au bonheur, au désespoir, au futur, à toutes ces choses qui devraient me faire réagir, me donner envie de réellement écrire. Mais je me rend compte que c'est la page blanche qui me fait écrire ce que je n'ai rien dans la tête. J'ai beau creusé de plus en plus profond, rien. Je ne suis plus si magique qu'il y a quelques mois n'est ce pas? Mais toi tu n'en sais rien. En fait tu es complètement ailleurs. Complètement abrutis par autre chose. D'habitude, je suis triste, ou heureuse. Mais en ce moment même, je n'éprouve réellement rien. Et tout ce que je suis entrain d'écrire. Et bien c'est mort. Et je sais pas comment conclure cela. J'en sais rien. Je suis un peu perdue et confuse parce que tout ce que je fais, ne me plait pas. Quelle vie monotone.





lundi 17 octobre 2011

lundi 10 octobre 2011

L'heure de se coucher mais trop éveillée pour s'endormir.

Il m'est arrivé de faire des rêves étranges. De rêver d'inceste, de voir mes peurs se matérialiser. De croire parfois que le désir était plus fort et beaucoup plus intense. J'ai cru mourir 100 fois. J'ai perdu de vue ce que j'aimais. J'ai imaginé le bonheur pendu par les pieds. Et puis un jour ce n'est plus en rêve que je vois des choses tomber. Ce n'est plus en rêve qu'on se voit heureuse. Même si certaines blessures restent toujours ouvertes et qu'elles saignent encore et encore, l'heureux hazard d'un après midi pluvieux. Comment serait il possible que dans une autre vie, dans un de mes rêves je puisse faire autre chose. Qu'il puisse m'arriver autre chose que ça. J'aurais pu avoir un rendez vous, manger une pomme, lire, être aller à une de mes soirées pas vraiment catholiques pour ensuite tomber dans les bras de morphées. Mais en fin de compte j'ai rencontré le destin. Pourtant je suis de celle qui n'en pense pas un mot. Le destin un drôle de mot que je m'interdis de prononcer car je le trouve si ridicule. Et puis lorsqu'on se dit enfin, on l'appelle alors le destin. Je veille tard ce soir pour t'écrire quelques phrases sans queue ni tête. Mais toi, tu es bien le seul à comprendre je crois ce que j'écris. Ce n'est pas très jolie, ni de la grande poésie. Mais tu m'es arrivé comme ça, sans savoir que je puisse te plaire, malgrès tous mes défauts, je ne les compte même plus sur mes doigts. Je rêve éveillée. Je suis éveillée. J'aime ton allure, ce que tu fais. Ta signature. J'aime ta propre poésie du monde. J'en suis amoureuse. C'est un fait, en effet. J'aime ton monde. J'aime tes désires. J'en apprécie les courbes. Et cette nuit, cette nuit sera belle, douce et calme. Rien ne me perturbera. Je serais transporter par ta douceur. Je me meurs tout doucement dans mes draps.

samedi 8 octobre 2011

Lendemain de soirée... Je vous en prie, tuez moi.

Annonce générale! J'ai enfin mon propre ordinateur portable! Je peux bosser enfin en toute tranquillitée sur mes photos. Le rêve! J'ai plus à me battre avec ma soeur pour récupérer l'ordinateur. Bref je suis trop faite! Je vous aime. Je veux donner de l'amour!

J'ai rencontré le Grand Méchant Loup. Tard le soir. A une heure tardive. Je n'ai pas eu peur. Juste un peu mal. Il était curieux. Un peu fou. Je suis devenue l'une des autres. Cette fille à la fois bizarre et adorable. Torturée par la folie. Cette folie bizarre qui m'entraine dans la danse. Une valse. Ou un slow.

mardi 4 octobre 2011

Je t'aime du fond du cul.

J'ai l'impression depuis vendredi d'être une jeune élève de Poudlard! Depuis que je suis à l'Esma, je découvre les joies de la photo. Sérieusement, mes cours sont passionnant, les garçons de l'Esma sont ultra mignons! J'ai l'impression d'être dans mon élément. Les gens sont vraiment stylés, beaux, même les professeurs ont du style et sympas. Mon école est une entreprise à bonheur! Je fais de la photo toute la journée et je suis avec des élèves motivés et passionnés. J'ai l'impression de rêver! 




J'ai passé du temps à t'apprécier.


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